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Pour la

santé des animaux

Les animaux d'élevage intensifs souffrent

des porcs ne voient jamais la lumière du jour au cours de leur vie

Être flexitarien pour soutenir la vie animale

Déclin des abeilles, des oiseaux, confinement des animaux d’élevage… nous pouvons agir sur ces atteintes à la vie par notre manière de nous alimenter. En effectuant des choix responsables lors de nos achats, devenons des acteurs du changement.

Pesticides et érosion de la biodiversité

Les pesticides de synthèse sont utilisés en agriculture pour tuer (comme le suffixe en « cide » l’indique) mauvaises herbes, insectes ou encore champignons (les « pest ») qui peuvent diminuer les rendements des cultures. Ces substances se diffusent au delà de leur cible dans l’air, dans l’eau et le sol, et sont l’une des principales causes du déclin des oiseaux. Présents dans l’organisme des animaux exposés aux pesticides, des derniers peuvent provoquer chez eux des maladies, et s’accumuler tout au long de la chaîne alimentaire.
Un des sujets les plus préoccupant étant la disparition d’une large partie des abeilles et autres des pollinisateurs, puisque 80 % des cultures à travers le monde sont dépendantes de l’action de ces insectes pour la pollinisation. Ils jouent un rôle crucial dans notre sécurité alimentaire.

Élevage intensif, un drame pour les animaux

Le respect du bien-être des animaux d’élevage s’intègre dans les critères de choix du consommateur éclairé. Ainsi, si le régime flexitarien n’exclut pas la viande, on en mangera occasionnellement tout en évitant les viandes provenant d’élevages intensifs.

 

L’intensification de l’élevage a conduit à la mise en place de pratiques cherchant d’abord la rentabilité économique par l’augmentation de la productivité. Ces animaux passent leur vie confinés à l’intérieur de bâtiments où on leur laisse tout juste la place de grossir, mais pas de se mouvoir. Près de 60% des poules pondeuses et 95% des porcs n’ont pas accès à l’extérieur durant leur vie avant l’abattage. 

 

Les interventions sur les animaux se sont multipliées pour répondre à la problématique d’espace toujours plus réduit. Les traitements qu’on leur réserve (castration, coupe de la queue chez les cochons, écornage des bovins, des ovins ou des caprins) pour les adapter à cette vie confinée limitent le comportement normal propre à leur espèce. Et la volaille n’est pas sans reste : le bec des poules pondeuses est épointé, tandis que la sélection génétique force les poulets de chair à grossir rapidement, au détriment de leur développement physique normal. Le stress et la douleur engendrés par ces pratiques peuvent être exacerbés selon la place et le confort qu’on leur réserve en bâtiment. Dans ces conditions, les animaux doivent également ingérer de nombreux antibiotiques afin d’éviter la propagation de maladies. 

Alimentation durable, un choix nécessaire pour la vie animale

Refuser de consommer de la viande provenant d’élevages intensifs, c’est agir pour  le bien être des animaux d’élevage, l’évolution de notre mode de production agricole et finalement la qualité de notre alimentation.

 

Refuser de manger des fruits et des légumes traités aux pesticides, c’est agir pour la vie sur terre en général. 

des poules pondeuses passent leur vie confinées les unes sur les autres

les poussins mâles, eux sont broyés ou gazés à la naissance par millions

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